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Gete.net Consulting : l'interview

Par Didier Pulicani - Mis à jour le

Gete.net Consulting : l'interview

Bonjour Guillaume, et tout d'abord merci de bien vouloir nous accorder un peu de ton temps.



Tout le plaisir est pour moi… qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour Mac4ever !

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Guillaume Gete est un fervent acteur du monde Mac français. Après avoir consacré un site aux PowerBook, il s'est ensuite passionné pour Mac OS X, puis s'est lancé de façon professionnelle dans les technologies serveur d'Apple. Aujourd'hui, Guillaume lance sa propre société de consulting spécialement dédiée aux solutions serveur de Cupertino. Il a donc gentiment accepté de répondre à quelques questions.

Pourrais-tu tout d'abord nous faire un petit topo de "Comment tu as découvert le Mac" ?



Il y a pile poil douze ans, armé de mon bac A1 (pour les plus jeunes, c'était l'équivalent du L option maths), je me suis retrouvé sur les bancs de l'université Lumière - Lyon II à essayer de passer un DEUG d'anglais (LCE). L'université obligeait tous les étudiants (et nous étions nombreux !) à suivre des cours d'informatique, à raison de deux heures par semaine. Une initiation qui se devait d'être faite en douceur. Je me suis donc retrouvé lors de mon premier cours devant un… LC III. J'ai découvert à ce moment que la souris pouvait être vraiment utilisable, que l'informatique permettait de faire des chouettes documents, que l'ordinateur pouvait avoir un semblant d'intelligence : par exemple, il était capable d'éjecter une disquette oubliée dans le lecteur au démarrage si il n'y avait pas de système dessus, alors que l'horrible PC de mes parents affichait un message en allemand dans les mêmes conditions, et qui disait : Continuer, Ignorer ou Annuler ? Donc, d'un côté, l'informatique intelligente, de l'autre, l'informatique rébarbative. Pour moi, il est important de s'amuser dans la vie, aussi, le choix du Mac s'est fait naturellement. Après quelques mois, je squattais les bancs de la salle d'informatique en libre service, je monopolisais le Mac de mes amis, j'ai harcelé ma famille pour avoir un Mac pour mes 20 ans (non, ce n'était pas le Mac du XXeme anniversaire !)… et quand je suis parti en Angleterre en 1997, j'ai atterri par le plus grand des hasards chez Apple Assistance. Dopé par mes 3 années passées à dévorer la presse Macintosh, j'ai commencé dans le monde merveilleux du support technique il y a quasiment 9 ans jour pour jour… et depuis, je me dope au Mac pour mon boulot, et pour mon plaisir de tous les jours. J'ai une chance énorme : je travaille tous les jours sur une plate-forme que j'adore, j'arrive à en vivre, dans un environnement où la passion est un vrai moteur. Que demander de plus ?

Venons-en directement aux faits : quelle est actuellement la place d'Apple dans le marché des serveurs et des solutions d'entreprise ?



Apple reste toujours fortement implantée dans ses marchés traditionnels : communication, publicité, création, mais pousse également très fort sur le marché du stockage avec la solution XServe RAID. Pas forcément avec du XServe d'ailleurs : des entreprises se tournent vers le XServe RAID car c'est une baie de stockage assez économique, avec un coût au Go peu élevé et d'une très grande fiabilité. Mais Apple a également attaqué le marché scientifique avec le XServe G5 pour le calcul en cluster, ou encore la vidéo avec l'essor du HD via XSan. Enfin, le marché éducation a fait un retour en force. On parlait de Lyon 2 plus haut, où les solutions basées autour du podcast s'appuient sur du matériel et logiciel Apple de A à Z. Bref, c'est un marché qui se porte bien et qui semble en bonne progression, là où on avait pu craindre à une époque que Windows NT ne taille de grosses croupières dans les parts de marché d'Apple côté serveur (cf AppleShare IP 5). Je regrette juste les délais sur le XServe Intel, passer trois mois sans serveur à vendre, ça le fait moyen. [NDLR : on en connaît d'autres...]

On entend parfois dire que les technologies XServe ne sont pas adaptées au monde du Web. Pour avoir utilisé ces ressources depuis quelques années maintenant, nous ne sommes évidemment pas d'accord. Quel est ton avis là dessus ?



Je suppose que vous faites référence aux fameux tests d'Anandtech (voir). Maintenant, il serait peut-être intéressant de poser la question à Aquaray ou Elidée, par exemple :-) Sérieusement, Apple intègre le couple PHP/MySQL, Mac OS X Server intègre WebObjects, et pleins de technologies Open source ou non qui sont parfaitement aptes à assurer le support d'un très grand nombre d'utilisateurs connectés simultanément à un seul serveur. Certes, Mac OS X a certaines différences conceptuelles, comme sa façon de gérer l'écriture sur disque qui pénalise parfois les performances. Est-ce qu'il est préférable dans ce cas de partir sur du Linux que sur du Mac OS X Server ? Possible. Cependant, bien souvent ceux qui râlent sur les lenteurs de Mac OS X ou Mac OS X Server comprennent mal le système, et le gèrent comme si c'était "un autre Linux". Or, Mac OS X Server a ses spécificités, il faut les étudier pour les comprendre et le configurer aux petits oignons. Ainsi, quand tu installes un CMS en provenance du monde Open Source, il ne faut pas oublier qu'il a été conçu pour le monde de Linux en premier lieu. Il faut parfois l'adapter un minimum pour que ça tourne bien sous Mac OS X. Certains oublient par exemple de désactiver le mode debug de leur solution tout-en-un, ça aide pas à améliorer les performances… Et évidemment, il ne faut pas non plus oublier que ceux qui râlent sont souvent ceux qui codent comme des gorets… Non, je ne donnerai pas de nom :-)

Quels sont les gros avantages du Mac en entreprise par rapport à des solutions classiques Windows Server ?



Ça va paraître paradoxal, mais le prix est devenu accessible. En particulier, à l'aube du passage vers Microsoft Exchange 2007 qui va bientôt pointer le bout de son nez, certaines sociétés se posent la question de payer la CAL (la licence par poste) pour Exchange, ou de migrer vers Mac OS X Server, car le tarif est bien plus agressif avec le principe de la licence serveur illimitée à 990 € TTC. Et dire que j'attends avec impatience Leopard Server et ses fonctions de gestion de travail en groupe (calendrier et carnet d'adresses partagé, wiki…) est un euphémisme…

L'autre énorme avantage à mon goût est la souplesse de l'administration du Mac, grâce à l'intégration entre le système et le matériel. J'adore par exemple le fait que je peux prendre une machine portable, la mettre en mode target et l'utiliser comme un vulgaire disque dur pour démarrer un XServe… Ça parait fou, mais ça marche sans problème (enfin, presque, il y a quand même quelques particularités dont il faut tenir compte sur le XServe) ! Idem pour la gestion des solutions à base d'image-disque : quand je vois combien coûte une solution comme Norton Ghost, alors qu'Apple propose des outils aussi puissants que Deploy Studio de façon gratuite… ça m'épate. J'utilise quotidiennement ces outils pour restaurer des postes à la chaîne, ou pour installer mes configurations de test, et j'aurais énormément de mal à m'en passer. Je bénis d'ailleurs Apple d'avoir adopté l'EFI pour les Mac Intel, car nous n'avons pas eu à abandonner ces fonctions fantastiques que sont le mode Target ou le NetBoot, qui sont vraiment indispensables à tout administrateur Mac qui se respecte.

Peut-on raisonnablement envisager des parcs mixtes Mac/PC ?



Oui, mais il faut analyser correctement les besoins de chaque plate-forme et voir où il faut investir. Si on a peu de PC et que l'intégration avec un environnement de type Active Directory n'est pas indispensable, Mac OS X Server peut suffire en tant que PDC, tant qu'on ne fait pas un usage massif d'applicatifs serveur nécessitant Windows Server. De même, on peut dans certains cas se contenter du partage de fichiers intégré à Windows Server quand on a quelques Mac sur le réseau, mais il faut faire attention : autant Mac OS X Server intègre de mieux en mieux le protocole SMB, autant Microsoft stagne sur son intégration du protocole AFP natif Mac pour le partage de fichiers (l'implémentation actuelle est plus que dépassée).

Le passage à Intel arrive-il, dans les faits, à convaincre un chef d'entreprise d'équiper un parc majoritairement au Mac et d'alterner entre Windows et Mac OS X sur les postes hybrides ?



Tout dépend là encore des besoins. BootCamp fait certes des miracles, mais j'ai du mal à voir l'intérêt d'un Mac si c'est pour rester en permanence dans Windows… En revanche, l'utilisation d'un produit comme Parallels peut convaincre les bureaux où Mac et PC se cotoient à s'équiper d'un produit ambivalent.

Linux est-il un réel danger pour Apple en entreprise ? Quels sont ses principaux avantages ?



Linux peut être un danger, mais relativement limité. Dans les PME, l'impact de Linux est limité, car on s'équipe souvent de Mac de A à Z sans se poser de questions. L'avantage est qu'un technicien peut avoir la maitrîse de l'ensemble de la plate-forme. Si on multiplie les plates-formes, on rajoute des problèmes, et des techniciens aux compétences variables qui n'ont pas forcément envie de prendre en compte le Mac… De plus, la richesse de Linux a poussé un grand nombre de projets Open Source qui se sont finalement révélés très positifs pour Apple. Dans un sens, je trouve Linux plus complémentaire du Mac que concurrent.

Que ce soit dans l'éducation ou dans certaines boites (la presse, les médias, par exemple), on entend souvent parler de migration Mac -> PC ou inversement. Selon toi, qu'est-ce qui motive une telle migration, dans un sens comme dans l'autre ?



Les raisons peuvent être multiples. Parfois, c'est juste un nouveau directeur informatique qui décide qu'il aime ou pas le Mac, et il est d'accord pour en déployer plus ou moins. Certains voient les avantages du Mac, certains n'en voient que les inconvénients et refusent d'investir dedans. Certains acceptent après utilisation de comprendre les intérêts de la plate-forme Apple, d'autres restent entêtés, car c'est Windows, et rien d'autre. Comme on le dit souvent : Personne ne s'est jamais fait licencier pour avoir installé du Windows….

L'autre raison est parfois plus terre-à-terre : le Mac semble parfois plus cher qu'un PC. Mais là encore, il faut montrer aux directeurs financiers qu'il faut aller au-delà du prix d'achat. Un calcul de TCO montre assez facilement que le Mac reste gagnant sur le long terme. Surtout qu'un Mac, ça dure longtemps, très longtemps ! Tu n'imagines pas le nombre de Power Mac G4 encore en activité…

Dans le cas des migrations, il y a encore des cas très particuliers, comme le cas d'un très grand quotidien français qui a migré une partie de son parc du Mac vers du PC il y a quelques années. La raison était alors claire : ils souhaitaient pour une partie de leur parc avoir des machines dont l'UC était séparée de l'écran. Or, Apple proposait alors uniquement l'iMac, l'eMac ou le Power Mac G4, sans autre solution. Le Mac mini aurait pu convenir, mais il est malheureusement arrivé trop tard. Tout comme on peut aussi regretter qu'il n'existe pas une petite unité Mac en mini-tour pour comparer les PC aux possibilités d'extension parfois plus intéressantes.

Parlons sécurité. Secunia (et les autres) annoncent régulièrement quelques failles propres à Mac OS X. Dans quelle mesure doit-on s'en inquiéter si l'on possède un parc Mac ?



Je fais aujourd'hui la part des choses entre les effets d'annonce et la réalité sur le terrain. Certes, une faille demande toujours à être réparée, et je trouve la réactivité d'Apple à ce sujet plutôt bonne. Mais il ne faut pas oublier un point important : ce n'est pas parce qu'une faille existe qu'elle peut être très facilement et largement exploitée. Des cas de concepts comme Opener ont montré très rapidement leur limite, avec un niveau de contamination nul.

En revanche, je mets en garde contre la tendance de certains administrateurs qui installent les mises à jour de sécurité dès qu'elles sont disponibles. Sauf dans le cas où une mise à jour serait réellement très critique, il est préférable à mon goût d'attendre quelques jours et de tester sur une machine de pré-production avant de passer au déploiement. Si le remède est pire que le mal, c'est moyen.

Par ailleurs, toute entreprise dotée de Mac se doit de choisir une solution de protection anti-virale. Il n'y a certes pas eu d'alerte virale massive sur Mac, mais je préfère quand même penser aux conséquences d'une éventuelle épidémie en me disant qu'il vaut mieux prévenir que guérir. Je sais que dire ça dans le monde Mac (et Unix) n'est pas forcément bien vu, mais les données des entreprises sont inestimables. Quand on parle de sécurité, on doit s'y attaquer à tous les niveaux.

Enfin, encore plus que de l'aspect sécurité logicielle, les entreprises doivent réfléchir à la sécurité de leurs données et donc de leurs sauvegardes. Là, il y a des manques parfois hallucinants. Que des personnes puissent travailler sans aucun filet de sécurité depuis des années, ça me dépasse… Les solutions de sauvegarde coûtent assez cher, mais la perte de données est tellement plus coûteuse !

Gete.net Consulting : l'interview

Peut-on raisonnablement dire qu'aujourd'hui, les solutions d'Apple sont suffisamment mures pour être adoptées massivement ? Que manque-t-il encore ?



Oui, cent fois oui ! Le Mac est la meilleure machine pour la vie numérique, et ce que j'ai vu de Windows Vista est loin de me faire peur sur les choix d'Apple. L'intégration logicielle entre les produits et logiciels Apple reste sans commune mesure, les produits restent beaux, et on peut quand même basculer dans les pires des cas sous Windows pour faire des tests ou même jouer. Sérieusement, mon MacBook Pro se voit afficher par Windows Vista une note de performance de 4/5 (alors que sa carte son n'est même pas gérée), c'est mieux que la plupart des portables PC actuellement vendus !

Côté entreprise, l'intégration du Mac avec les solutions d'authentification centralisée type Active Directory se fait de plus en plus simplement. J'apprécie particulièrement les fonctions de gestion centralisée des comptes utilisateurs sur le serveur apportée par Mac OS X Server. C'est plus sécurisé, simple à administrer, il faut juste penser à la redondance des services pour éviter les erreurs critiques. Mais curieusement, lorsqu'on parle de ce genre de solutions, la partie la plus réticente au changment reste les techniciens Mac qui maîtrisent mal Mac OS X et qui n'aiment pas voir la gestion des comptes confiée à un obscur administrateur Windows. Pourtant, au final, ça soulage énormément la tâche du technicien, qui ne gère que le système en local. Cela demande juste une bonne planification, et beaucoup de tests en amont.

Comment s'implique Apple France dans l'implantation du Mac en entreprise ?



Les cellules avant-vente sont assez actives, et l'EBC reste un lieu privilégié pour montrer aux clients qu'Apple a envie de prendre soin d'eux. J'ai pu assister à quelques présentations à l'EBC, c'est intéressant de pouvoir discuter des solutions Apple avec des nouveaux clients qui ne les connaissent pas forcément et qui sont au final assez bluffées par les possibilités des produits. Pour les grands comptes, on arrive à avoir du matériel de test, ce qui est toujours agréable. Mais ça pourrait être toujours mieux, en particulier sur certains produits. Ainsi, Apple devrait se dépêcher de penser à faire évoluer sa gamme d'écrans, car la concurrence bouge vite, Dell pourrait alors faire un massacre… Par ailleurs, il manque toujours des catégories de produit. Ainsi, si on parle de l'écran : c'est bien beau de proposer un Mac mini pas cher, mais ce n'est pas pour autant qu'on a envie d'y coller un Apple Cinema Display 20" à 799€… surtout quand la concurrence en propose des très bons de même taille moitié moins cher ! Si on est pas graphiste, on se tape de la qualité de la dalle. Quand je veux ajouter un écran pour mettre sur une machine qui sera essentiellement utilisée pour faire des tests, je n'ai pas envie de me ruiner dans l'écran.

Y'a-t-il certains types de sociétés pour lesquelles les solutions Apple ne seraient pas tellement adaptées ?



Dur à dire. D'un côté, je dirais non, car le Mac est très polyvalent. Pour un indépendant par exemple, travaillant dans les professions libérales, le Mac est plus qu'adapté. Pour une société qui utilise essentiellement un même logiciel vertical fonctionnant uniquement sous Windows, c'est bien plus discutable, car il faut dans ce cas penser à assurer le support technique d'un Mac doublé d'un PC, donc deux fois plus de problèmes potentiels, deux fois plus de techniciens et souvent deux fois plus coûteux… Il faut donc là encore étudier la faisabilité d'une migration sur Mac en prenant en compte tous les différents éléments du parc existant. Si on se lève un matin en se disant "tiens, je vais tout passer en Mac parce que j'aime bien la pomme qui s'allume dans le dos du MacBook", c'est l'échec assuré.

Qu'attends-tu de Leopard, en particulier de sa mouture serveur ?



Teams, Teams, Teaaaaaaaams ! Car là où Apple a encore un énorme manque par rapport à Microsoft, c'est du côté du travail en workgroup. Les systèmes de gestion de contenus se multiplient, Outlook sait gérer les calendriers partagés en lecture/écriture avec la délégation, et aujourd'hui, côté Mac ça reste Néanderthal. Tu n'as pas idée à quel point la requête des calendriers ou du carnet partagés est récurrente chez mes clients ! Donc, j'applaudis des deux mains à l'arrivée du calendrier partagé. J'espère juste qu'Apple pensera à une bonne intégration d'Outlook et d'Entourage avec sa solution. Si elle y arrive, les ventes vont pleuvoir, et ça va me ravir, parce que ça veut dire que j'aurai plein de Mac OS X Server à installer :-)

Maintenant, reste le cas des mystérieuses Top Secret Features. Quel genre de lapin Jobs va-t-il sortir de son chapeau ? J'aimerais bien savoir… S'il pouvait me fournir un vrai système à la Remote Terminal de Windows (une ouverture de session distante), ça me botterait vraiment.

Quels types de services proposes-tu exactement ?



Gete.net Consulting : l'interview
L'essentiel de mes services tourne autour de Mac OS X et surtout Mac OS X Server, au sens large, et mon travail consiste avant tout à conseiller mon client pour lui indiquer la meilleure façon de gérer son parc informatique et en tirer le meilleur profit. C'est à moi de lui trouver la solution à tous les problèmes, gros ou petits, qui l'empêchent de bien dormir. Vous pouvez par exemple faire appel à moi si vous souhaitez déployer de un à plusieurs centaines de Mac, si vous souhaitez faire configurer votre nouveau XServe Intel pour l'intégrer dans votre environnement Windows, si vous avez des problèmes de performance avec votre XServe RAID et avez envie de comprendre pourquoi… toujours en gardant un oeil sur l'aspect sécurité et la sauvegarde des informations. En fait, de nombreuses sociétés installent Mac OS X Server via une personne souvent "homme à tout faire" en interne et arrivent à exploiter les fonctions de base du serveur. Mais quand on souhaite aller plus loin, il est préférable d'être épaulé pour éviter les erreurs. C'est là que l'aide d'un consultant vraiment spécialisé se révèle inestimable. Cela peut sembler cher sur le papier, mais on assure toujours un petit transfert de compétences au passage, et c'est souvent l'occasion de régler également au passage quelques menus tracas. J'assure également du support téléphonique ou par e-mail. Cela vient la plupart du temps en complément d'une première prestation, car j'estime que mon travail ne peut pas s'arrêter au moment où j'ai franchi la porte de mon client en lui disant à la prochaine fois !. L'activité de consultant demande un minimum de suivi dans le temps.

Mais le monde informatique étant très vaste, je travaille avec différents partenaires qui ont chacun leur spécifité pour assurer le service dans des domaines où mes compétences propres ont besoin d'être épaulées. Ainsi, je travaille avec la société Dolcevista pour tout ce qui concerne les serveurs Windows, car je n'aurai jamais la prétention de vouloir devenir MCSE [Microsoft Certified System Engineer, NDLR]. J'ai déjà assez de travail à maîtriser les tenants et aboutissants de Mac OS X Server pour ne pas souhaiter me rajouter une pression supplémentaire… J'ai également des partenaires pour l'hébergement Web, pour le développement de sites ou de bases FileMaker… Vous me demandez, je vous trouve ce qu'il faut :-)

Je suis par ailleurs Formateur Certifié Apple, et je travaille en collaboration avec Agnosys pour former qui le souhaite sur Mac OS X ou Mac OS X Server. Je travaille également avec la société BridgeEurope en tant que Formateur FileWave , qui est une puissante solution de distribution logicielle en réseau, particulièrement adaptée pour les grands comptes comportant plusieurs dizaines voire centaines ou milliers de Mac.

Enfin, je peux aussi assurer des prestations plus spécifiques, comme de la relecture technique, de la rédaction de manuels ou de la traduction, etc.

Informations et contacts



Merci beaucoup à Guillaume pour avoir joué le jeu des questions-réponses. Si vous voulez en savoir plus, et contacter Gete.Net Consulting, voici l'adresse :

Gete.net Consulting
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