En introduisant un nouveau mécanisme d'identification biométrique sur l'iPhone 5S, Apple a pris les problématiques sécuritaires très au sérieux.
Même si Cupertino n'a donné que quelques informations durant la keynote, on commence à en savoir un peu plus sur la technologie, et surtout, les stratagèmes mis en place pour éviter tout piratage.
• Si des voleurs vous piquent votre téléphone, ils n'auront que deux jours pour essayer de contourner le capteur d'empreintes. Au delà, le système ne fonctionnera plus sans le fameux code. • L'image de votre doigt n'est jamais enregistrée sur l'appareil, et la rétroingénierie semble quasi impossible (enfin, ça reste à voir...). • Seules les données numériques et cryptées sont stockées sur le processeur (et non sur la mémoire interne du téléphone). • Apple précise qu'aucune app n'y aura accès. En clair, il ne faut pas s'attendre à un autre usage que celui du déverrouillage pour l'instant • En plus de l'empreinte, Apple exige que vous lui fournissiez un code. Ce dernier servira au cas où la reconnaissance ne fonctionne pas. • Le capteur ne fonctionnera pas bien si votre doigt est écorché ou trop moite. • Si votre doigt a été blessé dans un accident ou a bénéficié de chirurgie réparatrice, bref, si vous n'avez pas d'empreinte lisible, il sera possible d'identifier un autre doigt • Enfin, Apple précise que le mécanisme est plus évolué des traditionnels capteurs (présents sur certains ordinateurs). Il n'exige pas, par exemple, qu'on frotte plusieurs fois le doigt pour procéder à l'identification.
Un véritable système domestique d’alimentation plug-and-play qui intègre la production d’énergie photovoltaïque ainsi que la charge et la décharge bidirectionnelles.