La plateforme ResearchKit collecte pour la première fois les données d'utilisateurs situés en dehors des États-Unis, grâce à la dernière mise à jour de l'application MyHeart Counts, développée à Stanford avec la collaboration de l'université anglaise d'Oxford, et qui permet à présent aux citoyens du Royaume-Uni et de Hong-Kong de transmettre leurs données.
Jusqu'ici réservée aux personnes résidant aux États-Unis, l'application peut dès à présent aider les utilisateurs britanniques et chinois à prendre soin de leur coeur, tout en faisant remonter de précieuses informations qui aideront à faire avancer la recherche médicale.
Depuis son lancement, MyHeart Counts a déjà attiré plus de 41 000 utilisateurs, ce qui fait d'elle l'application la plus populaire parmi les titres prenant en charge ResearchKit. Depuis le mois de juin, ces outils sont par ailleurs disponibles également sur iPad.
Dans la journée qui avait suivi la sortie de l'application de Stanford, celle-ci avait été téléchargée plus de 10 000 fois et avait ainsi permis de faire remonter une quantité d'informations équivalente à un an de travail dans 50 hôpitaux répartis aux quatre coins des États-Unis.
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