Anti-trust : après les USA, l’UE et la Corée, Apple attaquée en Russie
Par Laurence - Publié le
Cet été, la mode semble être à l’enquête antitrust. En effet, la liste s’allonge pour Apple : après les USA, l’UE et la Corée du Sud, c’est au tour de la Russie de suivre le mouvement. Kaspersky Lab vient de saisir une organisation de surveillance antitrust -le Federal Antimonopoly Service (FAS) de la Fédération de Russie- pour vérifier les pratiques de Cupertino en matière de contrôle parental (par des app tierces).
Apple est en effet accusée de limiter la concurrence pour l'une de ses fonctionnalités, Temps d’Écran. Il y a quelques mois, l’app Kaspersky Safe Kids Family avait du retirer certaines fonctions (l’une sur le temps d’écran, l’autre sur le passage obligé via le navigateur de Kaspersy shuntant Safari).
Apple a indiqué avoir récemment retiré plusieurs apps similaires de son App Store, car elles « mettaient en péril la confidentialité et la sécurité des utilisateurs » en utilisant une technologie « hautement invasive » appelée Mobile Device Management (MDM) et que son utilisation dans une application centrée sur le consommateur enfreignait les règles de l'App Store.
Pour Kaspersy, Apple ne peut être à la fois juge et partie -abusant de son rôle de propriétaire de la plateforme et de contrôleur des contenus (privilégiant les siens). Elle se base d’ailleurs sur les directives de l’App Store qui autorisaient une utilisation limitée du MDM, même si leurs CGU étaient pas claires.
Source
Apple est en effet accusée de limiter la concurrence pour l'une de ses fonctionnalités, Temps d’Écran. Il y a quelques mois, l’app Kaspersky Safe Kids Family avait du retirer certaines fonctions (l’une sur le temps d’écran, l’autre sur le passage obligé via le navigateur de Kaspersy shuntant Safari).
Apple a indiqué avoir récemment retiré plusieurs apps similaires de son App Store, car elles « mettaient en péril la confidentialité et la sécurité des utilisateurs » en utilisant une technologie « hautement invasive » appelée Mobile Device Management (MDM) et que son utilisation dans une application centrée sur le consommateur enfreignait les règles de l'App Store.
Pour Kaspersy, Apple ne peut être à la fois juge et partie -abusant de son rôle de propriétaire de la plateforme et de contrôleur des contenus (privilégiant les siens). Elle se base d’ailleurs sur les directives de l’App Store qui autorisaient une utilisation limitée du MDM, même si leurs CGU étaient pas claires.
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