Depuis quelques heures, il est en effet possible de découvrir le code du serveur :
• Service Register : permet l’inscription à la solution StopCovid et la récupération d’identifiants anonymisés • Service Report : permet la remontée de contacts suite à une déclaration volontaire de test positif au Covid-19 et l'analyse de leurs risques d'exposition • Service Status : permet la vérification par une app donnée de son risque d’exposition au Covid-19 • Service Unregister : permet la désinscription à la solution StopCovid
L'INRIA tient donc ses promesses, et devrait publier toutes les briques de son système et des apps petit à petit ces prochains jours.
Cet Etat mise ici sur le GPS (pour avoir de la localisation) mais aussi sur le bluetooth, comme la plupart des apps déjà déployées. Développé par une statup locale (Twenty), le programme permet de partager son historique de localisation en cas de test positif à la COVID-19, mais les développeurs confirment que l'utilisateur pourra refuser d'utiliser le positionnement. 45 000 personnes auraient déjà téléchargé l'app , soit seulement 2% de la population totale (mais les tests viennent à peine de commencer).
L'article ne précise toutefois pas si la réjection des API d'Apple/Google est volontaire ou si l'app était déjà trop avancée avant l'annonces des deux géants américain.
