En attendant son capteur de glycémie, l'Apple Watch aide quand même les personnes diabétiques
Par Laurence - Publié le
Cinq ans d'études !
Ces mises à jour sont axées sur l'utilisation de données de glucose (prélevées par des moniteurs externes). Il s'agit de
permettre aux personnes atteintes de diabète de mieux comprendre comment les différents aliments, activités et facteurs de stress de la vie influent sur les taux de glucose.
Mais ces extraits mettent en lumière le rôle de l'Apple Watch, qui pour le moment n'est pas encore dotée de capteurs permettant de mesurer la glycémie (et apparemment ce n'est pas encore pour l'année prochaine). En effet,
lorsque ces mesures sont complétées par des informations de l'Apple Watch sur l'activité, les pas, le sommeil et les cycles menstruels, elles fournissent un véritable trésor d'informations.
Une amélioration du quotidien grâce à l'Apple Watch
Parmi les faits notables, on peut relever que
l'augmentation de la durée moyenne de l'exercice ou le nombre moyen de mesures prises un jour donné a entrainé une hausse du pourcentage moyen de temps pendant laquelle le glucose est tombé dans la fourchette cible de 70-180 mg/dL. Ainsi les personnes ayant fait plus de 30 minutes d'exercice par jour ont passé 78,8 % de leur temps dans la plage cible de 70-180 mg/dL, ce qui est extrêmement encourageant en terme de suivi de la santé (non médicalisé).
Au niveau des femmes, les analyses se sont penchées sur l'étude de 1 982 cycles menstruels, afin de suivre des niveaux de glucose dans les différentes phases, à compléter avec les variations de taux de progestérone.
Il s'agit ici de donner aux utilisateurs davantage d'informations et de connaissances sur leur propre corps. L'Apple Watch est ainsi perçue comme un moyen pour améliorer son bien-être au quotidien mais aussi de prévenir certains troubles ou risques de maladies.