Lorsqu'Eddy Cue a dévoilé Apple Music, ceux qui n'étaient pas obnubilés par son déhanché ont pu remarquer que Taylor Swift trônait en première place du classement présenté sur le service.
Un coup dur pour Spotify et c'est d'ailleurs peut-être cette image qui a suscité le fameux oh ok. de Daniel Ek sur Twitter. Mais Taylor Swift reste fidèle à son discours : c'est la formule gratuite de Spotify qui posait problème, puisque l'artiste ne souhaite mettre ses titres qu'à disposition des abonnés Premium. Apple Music ne proposant pas de telle offre, il est donc normal que Taylor ait accepté un accord avec la firme de Cupertino.
Reste qu'Eric T. Schneiderman, procureur général de New York se demande à présent si la Pomme n'a pas exercé des pressions sur les artistes pour qu'ils quittent Spotify et fassent couler le service. L'homme s'intéresse déjà de près aux relations que la firme entretient avec les maisons de disque et étend désormais son enquête à tous les acteurs susceptibles d'être impliqués. Affaire à suivre.
