Alors que le FBI vient officiellement d'abandonner ses poursuites à l'encontre Apple dans l'affaire de l'iPhone de San Bernardino, après avoir réussi à déverrouiller l'appareil sans l'aide de la Pomme, la méthode utilisée par les autorités américaines pourrait bien rester sous le sceau du secret, y compris pour les huiles de Cupertino.
En 2014, la Maison Blanche avait annoncé que le gouvernement pesait le pour et le contre à propos de la divulgation éventuelle des failles de sécurité découvertes par les autorités, une réflexion qui ne semble pas encore avoir débouché sur une mesure concrète. Ars Technica, qui a posé la question aux officiels américains, n'a en effet reçu pour seule réponse qu'il ne pouvait être fait aucun commentaire à propos de la possibilité d'une divulgation future à Apple.
Néanmoins, si l'on en croit les informations obtenues par CNN, la méthode utilisée par le FBI serait spécifique à l'iPhone 5c, ou du moins ne pourrait être reproduite sur les terminaux les plus récents, équipés d'une enclave sécurisée et d'un capteur Touch ID.
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