Business Week : Arik Hesseldahl ne veut pas d'iphone
Par arnaud - Mis à jour le
l'iPhone représente un pas en avant fondamental dans ce que peuvent être les téléphones mobiles, explique-t-il en préambule.
Mais je ne peux pas supporter la manière qu'a Apple de le faire évoluer que je trouve peu cohérente avec l'héritage de cette société.Et de lister ses griefs : fermeture aux applications tierces sous des prétextes plutôt fallacieux, mise à l'écart de la communauté des développeurs qui représente une des forces vives du monde Apple, volonté de contrôle total et de maximisation outrancière des profits.
Apple n'est-elle pas la création de deux gars dans un garage avec assez de talent pour concrétiser leurs idées novatrices ? Alors, pourquoi punir ceux qui cherchent à faire pareil sur l'iPhone ?
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On se souvient, nous aussi, des débuts glorieux du tamdem des Steve, lorsqu'ils fabriquaient et vendaient, sur les campus, des BlueBox pour des appels gratuits sur les lignes AT&T...
