Saboter les pirates.
Par Ergo - Mis à jour le
Que voilà un bien étrange article du New York Times. Je vous met le lien dès le début pour en être débarrassé: Par ici pour un aller-retour vers New York. Vol en première classe.
Pour ceux qui n'ont pas le courage de cliquer pour lire la totalité de l'article, voilà en direct de nos studios New Yorkais situés au 34ème et 35ème étages en vue plongeante sur Central Park, une tentative de traduction en live simultanée...
Ce bon vieux Andrew Ross Sorkin nous informe que quelques-unes des plus importantes compagnies du disque au monde seraient en train de financer le développemet d'un programme visant à "saboter" les ordinateurs et les connexions internet des personnes ayant récupérer de façon aléatoire de la musique. (Vous remarquez avec quelle discrétion je parle du mode de récupération ? La diplomatie est tout un art).
Notons que le mot "saboter" ne décrit que fort succintement le mode opératoire de ce programme...
Notons, également, que l'auteur de l'article tempère, un peu, son propos en employant le conditionnel, enfin je traduis par du conditionnel:
Bref, inutile d'être devin pour imaginer les remous juridiques qu'engendrerait une telle pratique.
Comme quoi, le service en ligne d'Apple pour récupérer légalement de la musique ouvre les yeux au bon moment. Reste à lui trouver un billet d'avion, ou un paquebot, ou un voilier de palisance, ou un canot pneumatique, ou un pédalo enfin n'importe qoi pour qu'il puisse traverser l'Atlantique au plus vite.
Affaire à suivre...
Pour ceux qui n'ont pas le courage de cliquer pour lire la totalité de l'article, voilà en direct de nos studios New Yorkais situés au 34ème et 35ème étages en vue plongeante sur Central Park, une tentative de traduction en live simultanée...
Ce bon vieux Andrew Ross Sorkin nous informe que quelques-unes des plus importantes compagnies du disque au monde seraient en train de financer le développemet d'un programme visant à "saboter" les ordinateurs et les connexions internet des personnes ayant récupérer de façon aléatoire de la musique. (Vous remarquez avec quelle discrétion je parle du mode de récupération ? La diplomatie est tout un art).
Notons que le mot "saboter" ne décrit que fort succintement le mode opératoire de ce programme...
Notons, également, que l'auteur de l'article tempère, un peu, son propos en employant le conditionnel, enfin je traduis par du conditionnel:
S'il était employé.... Bref, à ce jour rien de précis sur les intentions réelles des majors quand à l'utilisation véritable de ce programme.
Bref, inutile d'être devin pour imaginer les remous juridiques qu'engendrerait une telle pratique.
Comme quoi, le service en ligne d'Apple pour récupérer légalement de la musique ouvre les yeux au bon moment. Reste à lui trouver un billet d'avion, ou un paquebot, ou un voilier de palisance, ou un canot pneumatique, ou un pédalo enfin n'importe qoi pour qu'il puisse traverser l'Atlantique au plus vite.
Affaire à suivre...
