Comme son nom l'indique, la Sonos Move est faite pour être déplacée, et de nombreux essais ont permis de s'assurer que l'appareil résisterait au cas où l'utilisateur le ferait sans ménagement (certification IP56). Le nouveau mode Auto True Play remettra à l'enceinte de se calibrer toute seule en fonction de la pièce d'écoute.
L'enceinte offre jusqu'à dix heures de lecture en continu sur une seule charge, et un socle (optionnel) assurera l'utilisateur d'avoir une batterie pleine au moment de sortir. Le mode veille (activé automatiquement lorsque l'appareil ne fonctionne pas ou en appuyant sur le bouton d'alimentation) peut alors étendre l'autonomie à cinq jours, et la recharge s'effectue via un port USB-C situé à l'arrière du boitier.
En Bluetooth, les commandes vocales via Alexa et Google Assistant seraient inopérantes, tout comme l'application Sonos qui ne sera disponible qu'en Wi-Fi. L'enceinte compatible AirPlay 2 est d'ores et déjà disponible à 399 euros.
La Sonos One SL permettra à ceux qui n'ont que faire des assistants virtuels de s'offrir une One dépourvue de microphone -et toujours compatible AirPlay 2- à un prix (légèrement) plus intéressant. De fait, les One SL viendront remplacer les Play : 1 au sein du catalogue. Sonos commercialise aujourd'hui la One SL à 199 euros.
Dernier élément, le Sonos Port, successeur du vénérable Connect, permet d'étendre l'écosystème aux équipements audio traditionnels des utilisateurs. Pensé pour les intégrateurs et les personnes qui chérissent leurs systèmes de diffusion mais voudraient également profiter de fonctions modernes (comme AirPlay 2, Google Assistant ou Alexa), le Sonos Port est un petit boitier noir mat qui saura passer inaperçu. Doté d'une entrée par unité, le Sonos Port s'échange contre 449,95 euros.
