#SiliconDallas : Mark ZuckerBerg, sauveur du monde réel (enfin c'est ce qu'il dit)
Par Laurence Trân - Mis à jour le
rempart contre l'isolationnisme croissant, considérant qu'elle pourrait être
l'infrastructure socialedu monde entier. Pour cela, il n'hésite pas à citer Abraham Lincoln et offre une vision philosophique et politique.
Dans le monde entier, il y a des laissés pour compte de la mondialisation, et des mouvements pour se mettre en retrait de cette globalisation, écrit-il, en se livrant ainsi à une critique à demi-mot -bien qu'il s'en défende- de la présidence actuelle. Pour lui, la question essentielle est de savoir s'il convient de poursuivre cette connexion entre les personnes ou l'inverser, en précisant qu'il est là pour rassembler les gens.
Il déclare également que Facebook pourrait aller bien au-delà qu'un réseau social, et jouer un rôle dans cinq domaines d'importance qu'il dénomme
communautés: les communautés d'entraide, la sécurité, l'information, l'engagement civique et la culture. A chaque fois, il cite des fonctionnalités du réseau en corrélation avec ces thèmes.
Ce genre d'exercice n'est pas inhabituel des dirigeants des grandes entreprises. Le CEO en avait par ailleurs déjà une note semblable lors de l'introduction en bourse de 2012. A l'époque, il estimait déjà que Facebook avait été créé avec une mission sociale : rendre le monde plus ouvert et plus connecté. Ce post peut alors avoir plusieurs sens : confirmer sa position précédente et sa position politique, ou encore rassurer face à la polémique des fausses informations.

Source