Médiatisée depuis le CES de 2017, SeaBubbles, la start-up française, a travaillé activement depuis afin de finaliser ses prototypes de taxis fluviaux. Après des essais très discrets sur le Lac Léman, les bulles devraient évoluer sur la Seine dès la mi-avril pour une session d'homologation de cinq semaines, en parallèles des tests menés sur la Rade de Genève.
Avec ses derniers, la firme espère proposer une centaine de véhicules -dont le prix ne sera révélé qu'au mois de juin- en précommande d'ici la fin de l'été, pour de premières livraisons au premier semestre 2019. Selon Alain Thébault, avec nos nouvelles commandes électriques, qui actionnent des petits flaps, nous avons un niveau de stabilité qui nous permet d'ouvrir notre carnet de commandes dans les prochaines semaines.
Si l'homologation est proche, il reste encore à franchir l'obstacle de la production. En effet, un taxi made in France reste encore peu probable pour des raisons de coûts, mais aussi de savoir-faire.
