La dernière photo d’Eve Jobs a enflammé le réseau X, où elle a été partagée des millions de fois. L’héritière d’Apple, fraîchement mariée, a publié un cliché qui a littéralement cassé l’algorithme, déclenchant un flot de réactions autour de son image. Retour sur le phénomène et sur le parcours de celle qui ne se contente plus d’être « la fille de ».
(Et ça n'est même pas cette photo là qui a fait le buzz)
Une photo qui déclenche un raz-de-marée
Tout est parti d’un simple post Instagram. Eve Jobs, 27 ans, y partage un cliché d’elle en robe de mariée Givenchy, puis il y a quelques heures un simple portrait. En quelques heures, l’image traverse les plateformes, devient virale sur X, relayée à grande échelle.
Au-delà de l’esthétique même de la photo, c’est l’effet de surprise qui domine : tout le monde semble découvrir ou redécouvrir le visage de la fille de Steve Jobs (alors que nous on vous en parle de depuis un moment). La viralité prend, comme souvent, sans logique.
La fille de Steve Jobs, mais pas seulement
Née en 1998, Eve Jobs est la cadette du cofondateur d’Apple et de Laurene Powell Jobs. Elle a grandi à Palo Alto, au cœur de la Silicon Valley, loin des projecteurs pendant son enfance. Après des études à Stanford, elle se distingue dans le monde équestre, devenant l’une des meilleures cavalières de sa génération. Une discipline qui l’éloigne des projecteurs jusqu’à ses débuts dans la mode.
Depuis 2020, elle apparaît dans plusieurs campagnes remarquées, signe avec une agence prestigieuse et défile à Paris. Une trajectoire construite à relative distance du mythe paternel, même si le nom reste clairement un aimant à clics.
Un mariage très médiatique
Le premier cliché devenu viral, avant ce sacré portrait, provient de son mariage avec Harry Charles, cavalier olympique britannique.
La cérémonie s’est tenue en Angleterre dans une ambiance très sélecte, vous l’imaginez bien (on a pas été invités), avec une réception dans un manoir et des invités issus du cercle politique et financier. Elle avait déjà partagé plusieurs images de son enterrement de vie de jeune fille, mais ça n’avait pas encore cassé Internet.
On en dit quoi ?
Le succès fulgurant d’une images comme celles-ci rappelle à quel point la viralité peut surgir là où on ne l’attend pas. Mais dans le cas d’Eve Jobs, le buzz dépasse la simple beauté ou le nom célèbre : il montre un positionnement maîtrisé entre héritage et affirmation personnelle. Derrière ce phénomène de buzz, il y a une image publique finement calibrée. Reste à voir si cette exposition ponctuelle peut se transformer en influence durable, ou si, comme souvent, l’attention retombera avant même le prochain post.
