Les chercheurs de Stanford travaillent à l'amélioration d'un nouveau type de batterie Lithium-souffre, dont l'anode utilise des nano fibres carbone. Grâce à ce procédé, les chercheurs estiment pouvoir proposer des batteries 4 fois plus puissantes (1550 Wh kg−1 contre 410 Wh kg−1 pour les batteries classiques), et plus sûres, que les engins actuels.
La chose n'est pas encore en phase industrielle, loin de là : les composants ont une tendance à se dégrader rapidement et les scientifiques ne parviennent, pour l'heure, qu'à lui faire encaisser 40 à 50 cycles de charge (contre 300 à 500 pour les batteries Li-Ion classiques).