S'il a toujours été sujet à débat de savoir si la part de marché d'Internet Explorer était largement liée au fait qu'il soit le navigateur installé par défaut sur Windows, ou si les qualités dudit navigateur entraient en ligne de compte, voici des éléments de réponse. En décembre dernier, Redmond acceptait, pour clore une enquête anti-trust européenne, de proposer un choix de navigateur sur son OS.
Les premières statistiques de Statcounter montrent que, depuis, IE a vu sa part de marché baisser de 2,5 % en France depuis cette mesure, 1,3 % en Italie et 1 % en Grande Bretagne. Dans le même temps, les téléchargements d'Opera ont doublé en Europe, et même triplé en Italie, Pologne et Espagne.