Bluffant : la peau comme interface
Par Arnaud Morel - Publié le
Chris Harrison conduit des recherches passionnantes au sein du Human-Computer Interaction Institute de l'Université Carnegie Mellon : l'homme travaille à faire de la peau, plus spécifiquement de l'avant-bras et de la main, des surfaces utilisables pour piloter des périphériques mobiles.
L'idée se base sur la spécificité du signal acoustique transmis lorsque l'on frappe son bras : il est possible de différencier la zone où l'impact a eu lieu, en se basant sur le son spécifique produit à ce moment. La technique permet de différencier assez de commandes pour piloter un périphérique simple pour le moment. elle peut être couplée à un pico projecteur qui affiche alors les éléments de l'interface. Simplement bluffant. En attendant la prochaine miniaturisation de l'ensemble.
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L'idée se base sur la spécificité du signal acoustique transmis lorsque l'on frappe son bras : il est possible de différencier la zone où l'impact a eu lieu, en se basant sur le son spécifique produit à ce moment. La technique permet de différencier assez de commandes pour piloter un périphérique simple pour le moment. elle peut être couplée à un pico projecteur qui affiche alors les éléments de l'interface. Simplement bluffant. En attendant la prochaine miniaturisation de l'ensemble.
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