Pub anti-RIAA & co ?
Par Neobugs - Mis à jour le
align="right"]Ces derniers temps, alors que les associations défendant copyrights et combattant le P2P font plus que jammais parler d'elles, l'Electronic Frontier Foundation lance aux U.S. une vaste campagne publicitaire destinée à faire réfléchir quelque peu les politiciens américains ! (Qui a dit: incompatible ? :P)
Bref, le but est, de convaincre les citoyens américains de clamer leur opinion sur le sujet et donc, à terme, de forcer la main du gouvernement, qui caresse les Majors dans le sens du poil et inversement.
D'après l'association, les lois sur les copyrights aux U.S. sont dépassées. Il faudrait trouver une solution qui rapporterait toujours aux artistes et qui permettrait de légaliser l'utilisation des réseaux p2p, dixit Shari Steele, directrice de l'EFF.
Cette vision me semble plutôt utopique, car la cupidité, fléau gouvernant nombre d'entre nous, pousse avant tout et toujours à obtenir ces biens gratuitement, bien que de nombreuses, mais non-majoritaires, personnes achètent tout de même les oeuvres qu'elles apprécient, ayant le souci de récompenser à leur juste valeur les auteurs.
Je doute que cette campagne ait un réel impact sur les poursuites judiciaires en cours contre les utilisateurs de p2p, plus vulgairement appelés 'pirates'. Une solution moins radicale est à envisager : diminuer le nombre d'intermédiaires nécessaires à la distribution, permettant ainsi de baisser les prix. Les majors ont fait un effort pour les 'Music Store' online, pourquoi pas sur les bons vieux CD de musiques ?
Finissons sur une déclaration du juge Fred Vob Lohmann : "Le Congrès devrait perdre moins de temps à écouter les lobbies de l'industrie musicale et écouter un peu plus les 60 millions d'Américains qui utilisent chaque jour les logiciels de partage de fichiers." (Thx Open-files.com)
Bref, il va falloir que tout le monde fasse des concessions. Espérons seulement que le poids du peuple sera aussi important que celui des pots de vins et financements plus ou moins occultes !
Bref, le but est, de convaincre les citoyens américains de clamer leur opinion sur le sujet et donc, à terme, de forcer la main du gouvernement, qui caresse les Majors dans le sens du poil et inversement.
D'après l'association, les lois sur les copyrights aux U.S. sont dépassées. Il faudrait trouver une solution qui rapporterait toujours aux artistes et qui permettrait de légaliser l'utilisation des réseaux p2p, dixit Shari Steele, directrice de l'EFF.
Cette vision me semble plutôt utopique, car la cupidité, fléau gouvernant nombre d'entre nous, pousse avant tout et toujours à obtenir ces biens gratuitement, bien que de nombreuses, mais non-majoritaires, personnes achètent tout de même les oeuvres qu'elles apprécient, ayant le souci de récompenser à leur juste valeur les auteurs.
Je doute que cette campagne ait un réel impact sur les poursuites judiciaires en cours contre les utilisateurs de p2p, plus vulgairement appelés 'pirates'. Une solution moins radicale est à envisager : diminuer le nombre d'intermédiaires nécessaires à la distribution, permettant ainsi de baisser les prix. Les majors ont fait un effort pour les 'Music Store' online, pourquoi pas sur les bons vieux CD de musiques ?
Finissons sur une déclaration du juge Fred Vob Lohmann : "Le Congrès devrait perdre moins de temps à écouter les lobbies de l'industrie musicale et écouter un peu plus les 60 millions d'Américains qui utilisent chaque jour les logiciels de partage de fichiers." (Thx Open-files.com)
Bref, il va falloir que tout le monde fasse des concessions. Espérons seulement que le poids du peuple sera aussi important que celui des pots de vins et financements plus ou moins occultes !
