Samsung espérait, dans le procès qui l'oppose à Apple et qui a abouti à la condamnation du géant coréen pour violation de brevet, un nouveau procès en pointant du doigt la supposée mauvaise conduite d'un des jurés, Velvin Hogan, qui s'est avéré bien averti des problèmes de brevets, ayant lui-même été impliqué dans un tel procès contre Seagate, auquel Samsung a vendu, en avril 2011, sa division disque durs.
Il n'en sera rien ; la juge Lucy Koh a rejeté l'argument : Samsung était pleinement au courant du passé de Hogan, celui-ci l'ayant précisé lors de la phase de sélection du jury. En substance, pas moyen de se plaindre a posteriori de quelque chose qu'on connait a priori.