JVN ferme ses portes, en profite pour tacler les YouTubers "vendus" aux marques
Par Didier Pulicani - Mis à jour le
Les temps sont durs pour le web indépendant, et la dernière victime se prénomme
Nos confrères ont subi quelques années difficiles, avec la duplication de leur contenu d'un côté (pas très cool pour le référencement) et la liquidation de la société qui les employait de l'autre. Ayant repris le site à leur compte, ils n'ont apparemment pas réussi à trouver un modèle économique viable, ni un groupe sur lequel s'appuyer pour continuer l'aventure.
On en profite d'ailleurs pour relayer un p'tit coup de gueule (sans doute l'un des derniers ?) de Manu Militari, qui a la dent dure vis-à-vis des YouTubers (On parle évidemment de ceux qui testent les jeux en vidéo, dont certain ont acquis une belle notoriété). Il est vrai que ces dernières années, les éditeurs de jeux vidéos se sont largement servis d'eux pour promouvoir leurs titres et vous verrez dans cette petite chronique que les dessous de table semblent monnaie courante dans le milieu. Certains diront que c'est le prix à payer de la gratuité :
JVN. Le site spécialisé en jeux vidéos vient d'annoncer sa fermeture prochaine.
Nos confrères ont subi quelques années difficiles, avec la duplication de leur contenu d'un côté (pas très cool pour le référencement) et la liquidation de la société qui les employait de l'autre. Ayant repris le site à leur compte, ils n'ont apparemment pas réussi à trouver un modèle économique viable, ni un groupe sur lequel s'appuyer pour continuer l'aventure.
On en profite d'ailleurs pour relayer un p'tit coup de gueule (sans doute l'un des derniers ?) de Manu Militari, qui a la dent dure vis-à-vis des YouTubers (On parle évidemment de ceux qui testent les jeux en vidéo, dont certain ont acquis une belle notoriété). Il est vrai que ces dernières années, les éditeurs de jeux vidéos se sont largement servis d'eux pour promouvoir leurs titres et vous verrez dans cette petite chronique que les dessous de table semblent monnaie courante dans le milieu. Certains diront que c'est le prix à payer de la gratuité :
