L'écran de verrouillage des téléphones, le nouvel eldorado ? Twitter ne dit pas non
Par Didier Pulicani - Mis à jour le
Après la page d'accueil du navigateur ou encore le moteur de recherche par défaut, la surcouche des téléphones Android -une pratique autorisée par Google- pourrait devenir le nouvel espace à conquérir pour les éditeurs.
Après Facebook Home, c'est au tour de Twitter de faire sa petite déclaration. Lors d'une conférence organisée par AllThingsD, Michael Sippey y va de sa petite phrase :
Comme évoqué précédemment, la réaction d'Apple est très attendue sur ce segment. C'est un vrai marronnier dans la presse et sur les forums depuis la première version d'iOS, les utilisateurs veulent plus de
Si certains imaginent déjà, sous iOS 7 par exemple, un SDK capable de proposer un accès à des zones d'affichage de l'écran de verrouillage, offrir ce type de liberté pose également des problèmes de sécurité, mais aussi de consommation de données. Sur Facebook Home, par exemple, l'éditeur propose d'ailleurs de limiter le nombre de connexions au site, suivant si vous êtes calés sur le WiFi ou la 3G.
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Après Facebook Home, c'est au tour de Twitter de faire sa petite déclaration. Lors d'une conférence organisée par AllThingsD, Michael Sippey y va de sa petite phrase :
J'aimerais bien voir les tweets [sur l'écran d'accueil], on verra ce que ça donnera.
Comme évoqué précédemment, la réaction d'Apple est très attendue sur ce segment. C'est un vrai marronnier dans la presse et sur les forums depuis la première version d'iOS, les utilisateurs veulent plus de
widgetset de moyens de personnaliser l'écran de verrouillage de l'iPhone (rappelons qu'à l'origine, on ne pouvait même pas changer le fond d'écran !). La Pomme s'était déjà engagée timidement dans cette voie, via le centre de notifications, mais les développeurs sont pour le moment limités à l'affichage des alertes.
Si certains imaginent déjà, sous iOS 7 par exemple, un SDK capable de proposer un accès à des zones d'affichage de l'écran de verrouillage, offrir ce type de liberté pose également des problèmes de sécurité, mais aussi de consommation de données. Sur Facebook Home, par exemple, l'éditeur propose d'ailleurs de limiter le nombre de connexions au site, suivant si vous êtes calés sur le WiFi ou la 3G.
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