Les entrailles de l'iMac livrent encore quelques informations, comme la présence de mini cartes pour les ports USB-C et Thunderbolt (de la couleur de la machine), des parties qui pourront ainsi être changées au prix d'un effort certain, ou encore que les plaques métalliques aperçues lors du démontage sont en fait des chambres d'une épaisseur de 1,5 mm faisant partie du système audio, et que la webcam, le bouton d'alimentation, les trois microphones et le port mini-jack sont démontables séparément. Nous apprenons qu'en sus des antennes Wi-Fi, le logo Apple cache également une paire de piles CR2016 montées en parallèle.
Les techniciens se sont ensuite attaqués aux périphériques et accessoires, avec un bloc d'alimentation que l'on pourra changer, mais qui sera difficilement réparable, et que le bouton Touch ID du nouveau clavier ressemble à s'y méprendre à ceux utilisés dans les iPhone (les capteurs Touch ID semblent toutefois liés à leur clavier, un échange ne permettant pas de lire les empreintes). De même, si deux claviers avec Touch ID sont connectés un iMac, un seul fonctionnera, l'enregistrement d'une empreinte sur le second rend inopérant le premier. Sans surprise, l'usage de colle et le tout soudé, malgré les quelques éléments remplaçables, ne permettent pas à l'iMac M1 de briguer mieux qu'un piètre 2 sur 10 sur l'échelle de réparabilité du site.