Chez les pro, tout d'abord, le gain est assez net. Lorsqu'on combine CPU et GPU, l'écart ce creuse par rapport à l'an dernier :
Notez les performances assez médiocre de la version Iris Pro (entrée de gamme) sous Final Cut Pro.
Sur le reste des apps, l'écart varie en fonction de l'optimisation réalisée par les éditeurs. Certains combinent habilement l'utilisation du CPU et d'OpenCL par exemple.
Sur les jeux, où le goulot d'étranglement se situe principalement du côté de la garde graphique, la 750M fait à peine mieux que sa devancière (mais on s'y attendait, l'architecture reste la même). On précisera tout de même que cette génération affiche une consommation plus contenue, ce qui permet de gagner en autonomie tout en conservant les performances (à l'image de ce qui se passe chez Intel) :