Après le Volkswagen ID.4 et le Skoda Enyaq, Audi est la troisième marque à proposer un SUV basé sur la plateforme MEB du groupe -tous les trois sont donc de proches cousins.
Sur le plan électrique, les spécifications sont donc voisines :
• 170, 204 et 299 CV • 310 à 460 Nm de couple • VMax à 180km/h • 0 à 100 en 6,2s (9s pour la version 170CV) • Batterie de 52 kWh ou 77 kWh • Autonomie de 341 à 520Km
Côté recharge, elle monte de 7.4 à 11 kW en triphasé, et entre 100 ET 125 kW sur des bornes rapides (CCS) en courant continu. On retrouve donc des spécifications de l'ID.4, un peu en dessous des E-Tron classiques et loin de la cousine Taycan et son architecture 800V.
Comme vous l'imaginez, plusieurs versions sont donc disponibles, 35, 40 et 50 quattro pour le plus puissant, et une déclinaison Sportback avec un toit plongeant sur l'arrière, souvent plus réussi esthétiquement. Le Q4 classique affiche un gros coffre de 520 litres qui grimpe à 535L en version Sportback, soit une bonne moyenne pour la catégorie -cela reste néanmoins en dessous d'un Tesla Model Y, bien plus spacieux et proposant 7 places assises.
A l'intérieur, on reste en environnement audi connu, avec le double écran, et un design déjà éprouvé, mais dont la dalle grossit légèrement (11,6"). Audi a tout de même récupéré l'affichage tête haute en réalité augmentée de l'ID.4, absent de l'E-Tron classique au passage.
Le Q4 E-Tron sera lancé en juin prochain, la version Sportback d'ici la fin de l'été. Surprise de taille, l'entrée de gamme démarre à 42 800 €, ce qui permet de profiter du bonus maximal. En revanche, cette version sans option et avec une petite batterie risque d'être assez décevante -et donc plutôt à éviter.
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