Si la news people existait encore, il est certain qu'une édition spéciale aurait pu être consacrée à l'événement. En effet, Eve Jobs -fille cadette de Steve Jobs et Laurene Powell Jobs- s’apprête à dire oui à Harry Charles, cavalier olympique britannique.
Et pour cela, pas de petit comité dans le Devonshire, mais un mariage somptueux estimé à 6,7 millions de dollars, en plein cœur de la campagne anglaise. La cérémonie, organisée à Oxfordshire par le célèbre event planner californien Stanlee Gatti, devrait réunir une brochette de célébrités et figures de la haute société internationale.
Une union très people
À 27 ans, Eve Jobs va donc convoler avec Harry Charles, 26 ans, médaillé olympique et fils du champion de saut d’obstacles Peter Charles. Les festivités, qui s’étalent sur plusieurs jours, avec des invités arrivant progressivement tout au long de la semaine.
Parmi les personnalités attendues, on compte l’ancienne vice-présidente américaine Kamala Harris, amie de longue date de Laurene Powell Jobs. Mais aussi Jessica Springsteen (fille de Bruce Springsteen), le batteur des Arctic Monkeys Matt Helders, la princesse Beatrice, ainsi que Jennifer et Phoebe Gates (filles de Bill Gates).
Les frères et sœurs d’Eve, Reed et Erin Jobs, devraient également assister à la cérémonie. La présence de Lisa Brennan-Jobs, la demi-sœur née de la relation de Steve Jobs avec Chrisann Brennan, reste en revanche incertaine.
Pas vraiment d'héritage...
Diplômée de Stanford, Eve est mannequin professionnelle et cavalière de haut niveau. Elle a défilé pour des maisons comme Louis Vuitton ou Coperni, et posé pour Vogue Japan. Malgré sa filiation, elle ne devrait pas hériter de la fortune de son père, décédé en 2011. Laurene Powell Jobs a en effet affirmé publiquement que le patrimoine familial, estimé à plusieurs milliards de dollars, serait consacré à des projets philanthropiques, et non transmis à ses enfants.
Ce mariage fastueux reflète davantage l’univers mondain dans lequel évolue Eve que les choix de sa mère. Entre glamour, sport de haut niveau et engagement sociétal, la plus jeune des Jobs trace donc sa propre route, loin des circuits de la tech, mais non sans éclat.
