L’ex partenaire d’Apple maintient sa demande d’interdiction portant sur certains modèles d’iPhone aux USA. Mais il pense que la mise à jour d’iOS n’est qu’un moyen de contourner les accusations de violation des brevets.
Les avis sont partagés en la matière. D’un côté, l’ITC est contre une telle approche, affirmant que cela irait à l’encontre de l’intérêt public. De l’autre, un juge administratif a reconnu un non respect par Cupertino de l'un des trois brevets, sans se prononcer sur l’interdiction de vente et laissant la porte ouverte à une action ultérieure.
Selon le fondeur, la mise à jour pourrait bloquer son action qu’il estime pourtant légitime et parfaitement fondée. Les arguments d’intérêt public d’Apple au cours de l’enquête reposaient tous sur une idée fondamentale : que l’application du brevet 490 causerait un préjudice inévitable à l’intérêt du consommateur. Apple admet maintenant, plus de sept mois après l’audience, que les dommages peuvent être entièrement évités.
Qualcomm se demande alors pourquoi Apple ne l’a pas fait avant. Il insiste désormais pour une interdiction temporaire, affirmant que son adversaire n'a pas fourni de preuves suffisantes à l'appui de la demande de délai. La réponse devra attendre le 26 mars...
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