Jouez hautbois, raisonnez castagnettes!
Par Laaapin - Publié le
Splinter Cell existe bel et bien ! Il tourne même comme un charme sur mon petit PowerBook.
Après l’avoir cherché en vain, par monts et par vaux, il y a 2 semaines, je finissais par douter de son existence. Aspyr avait annoncé qu’il partait en duplication et qu’il allait être en vente dans les jours suivants à la fin septembre. Mais même sur les sites de ventes en ligne US, ou dans les forums des sites de jeux vidéo Mac américains, aucune nouvelle de ce dernier (à part 2-3 fakes sur insidemacgames).
Mais je l’ai enfin reçu du service de presse du distributeur français d’Aspyr, Apacabar. J’ai retrouvé le sourire. Je me lève le matin, me rase à nouveau et me brosse les dents, cessant ma grève de la vie, que j’avais commencée faute de ne pouvoir mettre la main sur le jeu.
J’ai même eu l’explication de la vraie fausse sortie de Splinter Cell aux USA : il y a eu tellement de problèmes avec l’entreprise sensée faire la duplication des DVD du jeu, qu’Aspyr a dû, au dernier moment, se tourner vers une autre société. Et comme dans les mois qui précèdent Noël, et surtout Haloween pour les Amériques, les unités de production sont en surchauffe, cela n’a été ni immédiat, ni facile. Mais c’est désormais de l’histoire ancienne, et dés novembre, on pourra acquérir le jeu en version française dans l’Hexagone, et les colonies limitrophes (Suisse, Belgique, Corse etc. ). :-)
J’attends de passer enfin le niveau Entraînement, pour écrire un test. :-) Mais sachez dés à présent que le jeu tourne somptueusement et fluidement sur mon AluBook (1,5 GHz Radeon 9 700 128 Mo de VRAM). Certes le jeu, qui privilégie avant tout l’infiltration plutôt que le traditionnel "tirer sur tout ce qui bouge, et même ce qui ne bouge plus" des FPS, ne vous fait que rarement rencontrer plus de 5-6 adversaires dans le même écran. On est donc assez loin des FPS comme Medal of Honnor ou Call of Duty, qui recréent carrément des pans de batailles historiques comme le débarquement ou Stalingrad, avec des dizaines de troufions, mais demandent des ressources graphiques plus importantes.
Splinter Cell n’est pourtant pas limité dans ses graphiques. C’est même tout le contraire. Mais le but principal du jeu, se déplacer discrètement, est différent, et le jeu se déroule souvent dans la pénombre, ou dans les clairs-obscurs.
Allez j’y retourne : j’ai encore le monde à sauver…