Dans les grosses opérations du moment, Nvidia doit acquérir ARM auprès de SoftBank pour quelques 40 milliards de dollars. Toutefois, d'après Bloomberg, l'achat pourrait bien être remis en cause. En effet, les régulateurs britanniques estiment que l'accord peut être anticoncurrentiel. Nvidia -qui est la société de puces la plus importante aux États-Unis par rapport à sa capitalisation boursière- pourrait exercer un monopole avec le portefeuille de brevets d'ARM. Cette dernière étant basée à Cambridge, le Royaume-Uni estime également qu'un changement de propriétaire pourrait présenter des préoccupations en matière de sécurité nationale. La question est pour l'instant en cours de discussion. Nous continuons à travailler sur le processus réglementaire avec le gouvernement britannique, a déclaré un porte-parole de Nvidia. Nous attendons avec impatience leurs questions et nous nous attendons à résoudre tout problème qu'ils pourraient avoir.