Nous arrivons bientôt à 1 mois de la commercialisation des nouveaux iPhone et Apple n'a toujours pas communiqué sur la seconde vague de lancement, notamment en Suisse et en Belgique.
Pas de prix, ni de date, tandis que le public s'impatiente et réclame l'appareil à ses revendeurs & opérateur locaux : il faut donc désormais trouver des solutions de transition.
Nous l'avons vu vendredi, en Suisse, la Fnac a pris les devants, en important des iPhone 5c. Depuis, d'autres revendeurs ont pris le relais dans la confédération : Carole nous signale avoir acheté un 5c chez Digitec, qui propose également quelques iPhone 5s (mais avec de faibles stocks). Les tarifs sont cependant encore un peu au dessus de ceux prévus par Apple, ces revendeurs étant obligés d'importer les appareils et de les retaxer en Suisse.
(Merci Kushtrim, Diane et Marie)
En Belgique, William en a trouvé dans un centre commercial à des prix exorbitants :
En effet, le prix de vente de l'iPhone 5c, qui est disponible en boutique, est fixé à 649€ pour le 16GB (Soit 50€ de plus que le prix officiel). L'iPhone 5s, quant à lui, est vendu au prix de 969€ (16GB), 1090€ (32GB) et 1250€ (64GB) et n'est disponible qu'en commande.
Notre lecteur a été d'autant plus surpris de dénicher l'appareil dans les boutiques de l'opérateur Proximus/Belgacom (confirmé par nos confrères du Soir/Belgium iPhone), qui ne vend habituellement jamais d'iPhone.
Si vous résidez dans ces pays et que vous n'habitez pas trop loin de la France, autant passer la frontière et économiser quelques centaines d'euros. Vous pouvez également solliciter vos connaissances en France, pour qu'ils vous envoient l'appareil...
Début septembre déjà, nos sources nous avaient indiqué que les iPhone 5s seraient particulièrement difficiles à obtenir le premier week-end, et durant les premières semaines de lancement. Malheureusement, Apple semble effectivement avoir bien du mal à produire l'appareil en quantités suffisantes, et l'on s'étonne de n'avoir toujours aucun retour sur cette seconde vague de commercialisation. L'effet est d'autant plus dommageable que le marché gris continue de se développer, accentuant la pénurie dans les pays où il figure déjà au catalogue.
