Made in conFactory : Act III - iPulse
Par iDav - Mis à jour le
Ca sert à quoi ?
Autant le dire tout de suite, iPulse est parfaitement inutile, mais vous connaissez l'expression, ça fait de ce petit soft un bijou totalement indispensable !
Plus sérieusement, et comme je vous le disais en introduction, le principe d'iPulse est de rassembler un maximum d'informations dans une petite fenêtre circulaire. Voici une liste non exhaustive de toutes les informations contenues dans la fenêtre d'iPulse :
- L'heure à la seconde près
- La date
- Le fuseau horaire
- Le calendrier du mois
- Le temps de fonctionnement de votre Mac depuis son dernier démarrage
- La date dans le calendrier Julien
- Le croissant de Lune effectif
- Le pourcentage de remplissage de la Lune
- La quantité et le pourcentage de mémoire utilisée
- Le pourcentage de mémoire utilisé par chaque applications
- La température du processeur
- Les pourcentages d'utilisation du processeur (top)
- La capacité du disque et l'espace disponible
- L'utilisation (lecture/écriture) du disque
- L'adresse IP du mac
- Le taux d'émission/réception sur le réseau
- Le nom de l'ordinateur
- Le nom de l'utilisateur
- La version de Mac OS installée
- Le temps de marche d'iPulse...
Et quelques petites choses encore, mais je fatigue !
Si l'on accède à la majorité de ces informations en survolant la fenêtre avec la souris, elles sont également représentées graphiquement, et s'animent à la fréquence désirée (oui, c'est pas évident à expliquer comme ça, mais jetez un oeil sur les captures d'écran, ou tout simplement essayez le !).
Vous l'aurez compris, tout ce qu'il y a à savoir sur votre Mac se trouve là à porté de main, merci iPulse.
Et on paye pour ça ?
Bon d'accord, iPulse sait tout et montre tout, mais de là à justifié les $12.95 qui font son prix...
Disons qu'iPulse à l'énorme avantage d'avoir la classe. C'est le tuning ultime du macintosh (et sans le caractère péjoratif du tuning automobile, parcequ'iPulse est bô).
Donc c'est zoli ?
Vous pouvez, via les préférences, changer les couleurs de chacune des jauges, jouer sur la transparence, ou régler, par exemple, la vitesse de mise à jour de ces même jauges.
Mais pour changer encore plus profondément l'apparence d'iPulse, il y a les Jackets, des petits fichiers qui vous permettront de skiner entièrement le logiciel. Vous pourrez vous même créer vos Jackets en sauvegardant vos préférences. L'avantage, passer facilement d'une apparence à l'autre, mais aussi récupérer des apparences toutes prêtes sur le net.
Parmi les fonctions de personnalisation, une est particulièrement efficace : la possibilité d'appliquer une image de fond à iPulse (encore une fois, dis comme ça l'intérêt n'est pas évident, mais en regardant ce que ça donne les graphistes comprendront).
Discret... et élégant vous dîtes ?
iPulse sait ce faire discret puisque vous pouvez régler à quel niveau de l'écran il doit apparaître. Selon moi, sa place est en arrière plan, juste au dessus du fond d'écran, mais après, c'est vous qui voyez...
Et puis, pour que tout soit parfait, ajoutez le aux éléments à ouvrir à l'ouverture de session.
Alors finalement ?
En conclusion, iPulse a beau être très beau et entièrement Jacketable (utilisons le vocabulaire made in Icon Factory), il faut avouer qu'il n'est pas d'une utilité extraordinaire.
Quoi qui l'en soit, si vous finissez par sauter le pas, vous ne pourrez plus vous en séparer, et il trônera fièrement (qu'il vente ou qu'il pleuve) sur le fond de votre bureau virtuel (ou sur le dessus selon vos goûts) clignotant et s'agitant au rythme des iPulsations de votre machine, arme absolu pour convaincre vos amis n'ayant pas encore switché que le bonheur des yeux, c'est sur Macintosh !
Quelques liens ?
Tout ce qu'il faut savoir, et tout ce que l'on peut trouver sur iPulse, c'est par là :
- La home d'iPulse d'abord (oui, ça peut être utile)
- La galerie de jackets officielle
- Un kit à télécharger pour créer vos propres Jackets
