Malwares, 3G survitaminée, Ive remplace Jobs, Nielsen
Par Didier - Publié le
91,3% des malwares seraient écrits pour Android. Le chiffre peut paraitre important, mais il est aussi liè au fonctionnement de l'OS : Google Play n'est pas la seule plateforme d'acquisition de logiciels et aucune validation n'est faite avant publication d'une app. Sur iOS, seul l'AppStore peut distribuer des applications publiques et chaque programme est vérifié individuellement. Sur iOS, il reste malgré tout possible de contracter un virus : si votre appareil est jailbreaké, la sécurité n'est plus opérationnelle et chaque app téléchargée peut contenir du code malicieux.
Durant les événements importants (festivals, expos...), les opérateurs mobiles sont largement sollicités sur une courte période de temps. Aux USA, AT&T a dévoilé sons sytème mobile, permettant d'endiguer le trafic sans frustrer ses clients : l'opérateur déploie plusieurs unités mobiles capables de prendre en charge la surcharge ponctuelle (plus de 100Go par heure), ce qui nécessite tout de même la mobilisation de 50 ingénieurs 24H/24 !
Jonathan Ive a-t-il la carrure pour prendre la place de Steve Jobs ? C'est l'amusante question que se pose Daniel Sparks. Alors que Cook est toujours vu comme un bon gestionnaire, il manque désormais à Apple son nouveau gourou. Après le départ de Forstall, seul Ive semble avoir les épaules pour faire rêver les fans.
Nielsen possède aujourd'hui le monopole dans le monde publicitaire : la firme fait figure de référence chez la plupart des régies, tout support confondu (radio, TV, internet...). Mais pour Frédéric Filloux (qui partage sa MondayNote avec Jean-Louis Gassée), Google pourrait s'inviter dans la course et détrôner le statisticien historique. Pour lui, il faut en finir avec les panels, à l'heure où il est possible de comptabiliser les audiences de manière très précise. Il faut dire que Google Analytics est déjà installé sur des centaines de millions de sites web et possède pour chacun, des statistiques ultra-complètes, et surtout, exhaustives. Il faudrait, certes, un peu de travail à Google pour lui donner suffisamment de crédibilité, mais vu les tarifs pratiqués dans la profession, il paraitrait étonnant que le géant de la recherche reste sur la touche.
Durant les événements importants (festivals, expos...), les opérateurs mobiles sont largement sollicités sur une courte période de temps. Aux USA, AT&T a dévoilé sons sytème mobile, permettant d'endiguer le trafic sans frustrer ses clients : l'opérateur déploie plusieurs unités mobiles capables de prendre en charge la surcharge ponctuelle (plus de 100Go par heure), ce qui nécessite tout de même la mobilisation de 50 ingénieurs 24H/24 !
Jonathan Ive a-t-il la carrure pour prendre la place de Steve Jobs ? C'est l'amusante question que se pose Daniel Sparks. Alors que Cook est toujours vu comme un bon gestionnaire, il manque désormais à Apple son nouveau gourou. Après le départ de Forstall, seul Ive semble avoir les épaules pour faire rêver les fans.
Est-ce que le succès de Ive dans le design peut être étendu au logiciel ?se demande le journaliste, qui parle d'une campagne interne de
dé-Forstallization. Il faut dire que ce dernier avait gardé une certaine emprise sur les employés avant son éviction, l'homme était un des plus proches de Jobs avant sa mort
Quand [Forstall] parle, on l'écoutepouvait-on lire récemment dans BusinessWeek.
Nielsen possède aujourd'hui le monopole dans le monde publicitaire : la firme fait figure de référence chez la plupart des régies, tout support confondu (radio, TV, internet...). Mais pour Frédéric Filloux (qui partage sa MondayNote avec Jean-Louis Gassée), Google pourrait s'inviter dans la course et détrôner le statisticien historique. Pour lui, il faut en finir avec les panels, à l'heure où il est possible de comptabiliser les audiences de manière très précise. Il faut dire que Google Analytics est déjà installé sur des centaines de millions de sites web et possède pour chacun, des statistiques ultra-complètes, et surtout, exhaustives. Il faudrait, certes, un peu de travail à Google pour lui donner suffisamment de crédibilité, mais vu les tarifs pratiqués dans la profession, il paraitrait étonnant que le géant de la recherche reste sur la touche.
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