Cinq ans après Jurassic World: Dominion, l’univers des dinosaures vilains reprend du service avec Jurassic World Renaissance, prévu en salles le 2 juillet 2025. Cette fois, plus de parcs à touristes ni de raptors domestiqués : les dinos restants survivent dans des écosystèmes isolés, là où ils prospéraient autrefois. Mais évidemment, les humains ne peuvent pas s’empêcher d’aller y mettre leurs nez.
Retour aux dinos, mais cette fois pour la science (enfin, en théorie)
L’histoire suit une équipe envoyée en mission pour récupérer l’ADN de trois des plus gros spécimens encore en vie – sur terre, dans les airs et sous l’eau. Officiellement, c’est pour développer un médicament révolutionnaire. Officieusement, on imagine bien que ça cache un plan un peu moins noble. Évidemment, rien ne va se passer comme prévu.
Scarlett Johansson incarne Zora Bennett, une spécialiste des opérations secrètes chargée de mener la mission. À ses côtés, Jonathan Bailey joue un paléontologue idéaliste, le Dr Henry Loomis, et Mahershala Ali campe Duncan Kincaid, un leader d’équipe qui n’est visiblement pas du genre à paniquer facilement. Rupert Friend, lui, incarne un ponte de Big Pharma qui, on s’en doute, n’a pas que de bonnes intentions.
Leur expédition prend un virage catastrophe lorsqu’ils se retrouvent coincés sur une île en compagnie d’une famille de civils naufragés, qui ont eu le malheur de croiser des dinosaures marins un peu trop affamés. Histoire de pimenter encore plus la situation, l’île cache un secret bien enfoui depuis des décennies. Et vu le passif de la saga, on peut s’attendre au pire.
Coin coin
Retour aux sources et scènes cultes revisitées
Aux commandes, Gareth Edwards (qui a réalisé le merveilleux Rogue One) mise sur un retour à l’essence même de Jurassic Park, avec une ambiance plus immersive et un peu moins d’excès à la Dominion. Le scénario, signé David Koepp (déjà derrière Jurassic Park et Le Monde Perdu), reprend même une scène culte du roman de Michael Crichton : la fameuse traversée en radeau avec un T-Rex en mode crocodile. Pourquoi pas.
Une nouvelle ère pour la saga ?
Avec Jurassic World Renaissance, Universal semble vouloir relancer la franchise sur des bases plus solides, loin des expérimentations génétiques farfelues et des complots à la James Bond des derniers films. Moins de gadgets, plus de dinos sauvages et de sueurs froides. Est-ce que ça suffira à redonner un vrai souffle à la saga ? Réponse cet été.
D’ici là, vous êtes plutôt Jurassic Park à l’ancienne ou team Jurassic World bourrin ? Très franchement à titre personnel, j’ai tendance à penser que ça ne serait pas déconnant de laisser un peu ses franchises tranquilles et essayer de bosser sur de nouvelles idées non ?